10 mars 2009, 0h00
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En 1966, Leonard Cohen publiait «Beautiful losers» («Les perdants magnifiques»). Un roman en forme d’ovni, imprégné de culture montréalaise et de littérature beatnik. Quel rapport avec l’économie, me direz-vous? «J’aurais voulu trafiquer dans l’immobilier, représentant d’un milliardaire anonyme et sans âge», écrivait le poète. Depuis, l’expression «beautiful loser» est entrée dans les mœurs. Et comme le marché respire par cycles, il laisse régulièrement ses idoles sur le carreau, pour mieux les ...
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