09 juillet 2001, 0h00
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L’appel venait de très loin mais, satellite oblige, était parfaitement clair: l’homme que l’Organisation maritime internationale (OMI) avait au téléphone, à Londres, était attaqué par des pirates en mer Rouge et appelait à l’aide. «C’était l’an dernier, se souvient Natasha Brown, porte-parole de l’OMI. Mon interlocuteur expliquait que son voilier était attaqué par des pirates. Nous lui avons dit d’appeler les garde-côtes locaux car l’OMI (ndlr: une agence des Nations Unies) ne peut rien faire d’...
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