19 juin 2000, 0h00
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Ils ont beau avoir gardé le silence depuis le début de la crise l’hiver dernier, mais ils ne pouvaient rester indifférents. Les banquiers privés genevois sont d’autant plus concernés par la tempête que traverse la Banque Cantonale de Genève qu’ils n’en sont pas que les voisins. Il y a bien évidemment le partage du label de la ville du bout du Léman, auquels ils sont si sensibles. Mais l’essentiel est bien entendu financier.
La facture globale des mauvaises créances pourrait dépasser largement le...
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