16 juin 2008, 0h00
Partager
Les mots peuvent valoir leur pesant d’or. A tel point qu’à l’heure où certains grands établissements bancaires assommés par le subprime craignent de voir leur image s’effriter et leurs clients partir chez la concurrence, les gestionnaires de fortune préfèrent se réjouir à demi-mots de la crise qui ébranle le système financier. L’optimisme reste d’actualité. La preuve par les faits: Julius Bär et la Banque Cantonale de Zurich ont annoncé, la semaine dernière, leur volonté d’embaucher de nouveaux ...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT