24 août 2004, 0h00
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Soucieuse d’une réputation d’envergure, la formation supérieure suisse en finance souffre de sa dispersion. A une époque où le secret bancaire vacille, où la concurrence se renforce, la place bancaire helvétique veut cimenter ses atouts scientifiques.
Dans le milieu professoral, on le dit à demi-mot: la Suisse doit pallier certains manques en matière de cursus universitaire financier, notamment face aux Etats-Unis. Sans remettre en question la valeur de la formation, «reconnue», beaucoup évoque...
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