04 juin 2009, 0h00
Partager
Même si l’expression n’a pas été prononcée hier, la directive de la Finma sur les rémunérations dévoilée hier matin est largement vécue comme «une loi UBS» par les milieux financiers. C’est-à-dire un cadre général conçu pour un nombre limité d’établissements, mais auquel devraient se soumettre des entreprises au modèle d’affaires aussi différents que des banques de gestion cotées, des banques privées ou des assureurs. Déjà pénalisés par les pressions sur le secret bancaire qui ont jailli dans le...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT