17 mars 2009, 0h00
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L’inquiétude est palpable. Quelques secondes à peine après avoir reçu un courriel lui demandant un rapide entretien, Klaus Winker, le porte-parole de Deutsche Bank, prend la peine de décrocher son téléphone pour prononcer deux petits mots: «No comment». Des tentatives répétées pour tenter de comprendre son refus de répondre aux questions se heurtent au même mur de silence. «Non, je ne peux rien vous dire…» Quant à un entretien avec son grand patron, Josef Ackermann, «vous savez la liste d’attent...
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