07 août 2001, 0h00
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Les marchés obligataires sont à court de carburant, et plus particulièrement aux Etats-Unis. Les mauvaises nouvelles économiques telles que les suppressions d’emplois ou la contraction de l’activité industrielle ne suffisent plus à propulser les cours. En effet, les investisseurs ont déjà escompté une prolongation du creux conjoncturel et ne sont prêts à célébrer que de véritables signes de récession. Sur le Vieux Continent, la détente des taux est encore d’actualité, grâce notamment à l’orthodo...
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