21 août 2003, 0h00
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Les deux attentats de mardi au Moyen-Orient, et celui de Bagdad bien plus que celui de Jérusalem, ont percé la léthargie qui amortissait les réactions tant publiques que médiatiques à la guerre contre le terrorisme. Avec l’attentat contre le quartier général de l’ONU, objectif «mou» de gens pacifiques, doublé de celui de Jérusalem qui remet en question l’idée qu’on peut résoudre par le gouvernement Abbas la question palestinienne selon les voeux de Sharon et de Bush, la réaction du public a fran...
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