28 mars 2011, 0h00
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Sous couvert de renforcer la protection des travailleurs, plusieurs projets menacent actuellement la flexibilité du marché du travail. C'est par exemple le cas du projet du Conseil fédéral de relever de six à douze mois de salaires l'indemnité en cas de licenciement abusif ou injustifié. L'Union patronale suisse (UPS) estime qu'il n'existe aucun motif plausible à l'appui d'un tel durcissement. «Le gouvernement vise une intimidation inacceptable de l'employeur, en reléguant à l'arrière-plan l'asp...
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