25 mars 2010, 0h00
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«La Grèce n’est pas en Grèce». Elle s’étend à l’Espagne et au Portugal. C’est par cette syllepse oratoire que Virginie Maisonneuve, responsable des actions mondiales et internationales de Schroders, évoque la dimension centrale du surendettement de ces pays, lors d’une présentation dévolue aux «Global Trands» mercredi à Zurich. «D’autant que 46% de cette dette est due à des banques allemandes et françaises». A tel point que Josef Ackermann, le patron de Deutsche Bank, aurait même jugé ce facteu...
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