26 octobre 2004, 0h00
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Les grands absents au rendez-vous électoral de mardi prochain, ce sont les emplois dans le secteur de la haute technologie. Il y a quatre ans, l’euphorie régnait. Républicains et démocrates célébraient la nouvelle économie, un modèle de croissance forte sans inflation tirée par le high-tech, à l’origine de gains de productivité très élevés. Aujourd’hui, le secteur n’est plus la locomotive de l’embauche. En dépit de trois ans de croissance solide, il affiche toujours une perte nette de 200.000 em...
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