Les alliances stratégiques sont préférées aux fusions

Une étude d’Arthur Andersen démontre que les raisons d’un rapprochement sont souvent d’ordre externe, comme la recherche de l’accroissement de la clientèle ou le développement de l’offre de services, mais que les éléments internes comme les ressources humaines, les technologies ou l’organisation sont pratiquement toujours sous-estimés, en tous les cas, rarement pris en considération.

Nicolas Pinguely

05 avril 2001, 0h00

Dans la précipitation d’un rapprochement, de nom- breux établissements financiers manquent des occasions de créer de la valeur. Quels sont les éléments créateurs de valeur dans un processus de rapprochement? Une récente étude d’Arthur Andersen analyse de quelle manière les établissements financiers évaluent leurs propres forces et faiblesses en prévision d’une fusion, acquisition ou alliance, identifient les éléments déclencheurs de tels processus et discutent les attributs de partenaires potent...

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Les alliances stratégiques sont préférées aux fusions

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