Les Agnelli créent peu de valeur avec Ifil

Le 16 septembre dernier, la décote («discount») de l’action Ifil (Finanziaria di Partecipazioni) par rapport à sa valeur d’actif net (NAV) atteignait 37%, après être montée jusqu’à 50% entre-temps. Il n’y a rien d’étonnant à cela, car c’est l’une des sociétés familiales à participations les plus mal gérées en Europe. Une des raisons réside dans Fiat Auto, que les Agnelli ont conservée sans doute trop longtemps du fait de l’attachement viscéral que lui portait le légendaire Gianni Agnelli. Si l’...