28 octobre 2005, 0h00
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Pantalon clair, en bras de chemise, cet actionnaire alémanique semble tirer la gueule au dernier rang. Il est venu assister à l’enterrement de la vie de garçon du groupe fribourgeois Saia-Burgess, plus exactement à son mariage avec le chinois Johnson Electric. Quand on lui demande ce qu’il ressent en ce moment si particulier, il baragouine: «Ich weiss nicht...»
Pourtant il a réalisé une belle plus-value en vendant tous ses titres Saia-Burgess. Johnson Electric offre en effet le prix fort: 400 f...
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