20 avril 2001, 0h00
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Les associations de défense de l’environnement et des droits de l’homme sont parvenues à monopoliser le débat lors de l’assemblée générale des actionnaires du géant pétrolier britannique BP Amoco hier à Londres.
Les interventions passionnées d’un opposant tibétain en exil, d’un prêtre soudanais ou d’une religieuse américaine ont éclipsé les revendications plus terre à terre des actionnaires classiques.
Au terme d’une véritable course d’obstacles, deux associations, Greenpeace et Tibet libre étai...
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