31 mars 2000, 0h00
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Pour beaucoup, les accords bilatéraux restent un thème peu mobilisateur. Soit qu’ils auraient préféré s’engager pour l’adhésion et non pour ce qui leur semble une affaire de techniciens voire de technocrates. Soit que, précisément, le caractère technique des accords (plusieurs centaines de pages...) les rebute. Soit encore que, plus dangereux, la cause leur semble gagnée, puisque même l’UDC ne semble pas très critique. C’est oublier que les mots d’ordres des partis ont leurs limites; c’est oubli...
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