Levi Sergio Mutemba
L'Agefi - Journaliste
07 mars 2011, 0h00
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Janwillem Acket doute que, en l'état, la structure de financement ad hoc de 440 milliards d'euros (EFSF), garantie en proportion par les états-membres, soit une réponse appropriée et suffisante aux défis posés par le surendettement des économies développées. «Il s'agit d'acheter du temps afin d'éviter le défaut d'un membre de l'UE»;, affirme l'économiste. De plus, il se pourrait que le chèque ait été signé en blanc. «Le rating AAA exige un apport de garantie à hauteur de 120% des volumes émis. D...
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