25 novembre 2004, 0h00
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Depuis quelques temps, les rouages classiques entre marchés des actions et des obligations, d’une part, et conjoncture, d’autre part, semblent grippés, constate Serge Ledermann, responsable de l’unité Asset Management chez Lombard Odier Darier Hentsch & Cie, qui présentait hier à la presse les perspectives pour 2005. Les investisseurs arbitrent désormais ex-post entre ces classes de risque, avec environ deux trimestres de retard, comme si leurs décisions traduisaient a posteriori la réalité écon...
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