30 novembre 2007, 0h00
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Hier à Bruxelles, les ministres des Transports de l’UE se sont transformés en épiciers, chargés de distribuer de manière «équitable» les parts du gâteau Galileo, ce projet de navigation par satellite que la Commission européenne voulait exemplaire, tant en terme d’indépendance que de technologie. Galileo est en effet appelé à surpasser le système américain, gratuit et omniprésent. Les parts du gâteau Galileo se chiffrent, sur le plan industriel, à six: les français Thales et Alcatel-Lucent, le b...
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