08 novembre 2011, 0h00
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Les perspectives sur le marché du travail s'assombrissent. L'Union patronale suisse (UPS), qui présentait hier ses attentes par rapport au nouveau Parlement, appelle les syndicats à la mesure et plaide pour le maintien de la plus grande flexibilité possible. «Il faut rejeter les salaires minimaux légaux, l'obligation générale de plans sociaux ou le durcissement des dispositions en matière de protection contre les licenciements»;, a souligné Valentin Vogt, président de l'UPS. Le chômage s'est acc...
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