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Léman Capital ne brûle pas du désir d’acquérir une marque de montres

«Il y a un conflit d’intérêts lorsqu’une société horlogère qui commercialise ses propres marques produit des mouvements pour des entreprises concurrentes.»

01 juillet 2005, 0h00
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Léman Capital a pris le contrôle de plusieurs entreprises de sous-traitance horlogère ces dernières années au travers du fonds d’investissements BVP Europe qu’elle pilote. Son entrée dans le secteur s’est faite en 2001 avec l’acquisition du groupe SFT, troisième producteur mondial de composants et de mouvements horlogers à quartz, derrière Seiko et Citizen. Via sa filiale Indtec, ce groupe, qui emploie 230 personnes en Suisse, en France en Inde et à Hong Kong, a développé récemment des mouvement...
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