21 juillet 2006, 0h00
Partager
Françoise Kuenzi
Sur la table de la salle de conférence, une maquette du satellite Metop, tout décoré de papier doré, de la taille d’un jouet d’enfant. «En réalité, il pèse quatre tonnes...» note Arnaud Gisiger, directeur du marketing de l’entreprise Syderal, à Gals (BE). Ses circuits électroniques vont, ces prochains jours, prendre le chemin des étoiles.
Le premier des trois satellites météo du programme Metop, coopération entre l’Europe et les Etats-Unis, est en effet sur le point de s’e...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT