23 janvier 2006, 0h00
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La valorisation des actions au plan global (ex-Japon) est encore avantageuse, comparativement aux obligations. Avec près de 5% par rapport à la dette de l’Etat souverain, l’écart n’a jamais été aussi grand depuis 1987. Certes, les rendements obligataires sont bas, tant aux Etats-Unis et au Japon qu’en Allemagne et en Grande-Bretagne. Cette situation est difficile à expliquer. Il existe quatre explications possibles selon John Llewellyn, chef économiste global de la banque d’affaires américaine L...
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