18 mai 2010, 0h00
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En acceptant le 10 mai de faire ce qu’il avait toujours refusé de faire, monétiser les dettes publiques d’Etats impécunieux, Jean-Claude Trichet a signé la mort de l’euro, ou du moins de l’euro dont il rêvait, c’est-à-dire une monnaie à peu près digne de ce nom et indépendante des pouvoirs politiques. Le gouverneur de la Banque centrale européenne ressemble aujourd’hui à la chèvre de M. Séguin. Il a résisté toute la nuit avec moult gémissements pour à la fin tendre son coup à la dent du grand mé...
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