18 octobre 2004, 0h00
Partager
Le débat fait rage depuis la rentrée en France sur l’ampleur et les effets des délocalisations. Il divise autant au sein de la droite que de la gauche et oppose beaucoup d’économistes à des Français qui en font désormais leur préoccupation première.
Pour les uns, les délocalisations – investissements dans un pays à bas coût pour réimporter, un phénomène d’ampleur, non quantifiable, mais en augmentation – sont marginales et en même temps inéluctables, et peuvent contribuer à maintenir des emploi...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT