17 avril 2000, 0h00
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Le climat de capitulation que l’on a vécu vendredi soir pose essentiellement deux questions, l’une financière, sur les conditions de marché des prochains jours et mois, l’autre macro-économique sur l’impact du krach du Nasdaq, un chute d’un tiers en un mois, sur les prochaines décisions des banques centrales. Le formidable cycle haussier des marchés financiers s’explique bien sûr par les effets structurels de la globalisation et de l’accélération de la productivité, que l’on a résumé sous l’appe...
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