18 août 2009, 0h00
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Dans la course à la succession de Pascal Couchepin, Fulvio Pelli n’aurait plus les faveurs de la cote, à en croire la presse du week-end. Le président des libéraux-radicaux suisses agit comme repoussoir pour la gauche, sans pour autant pouvoir compter sur un appui indéfectible du groupe parlementaire UDC. Le Tessinois a même été invité par la cheffe du groupe PLR aux Chambres, Gabi Huber, à ne pas abandonner son mandat de président de parti. Dans l’immédiat, ce désamour soudain fait remonter la ...
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