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L’économie libanaise est victime de ses dettes et de ses divisions

La violence, une dette publique colossale et un déficit de la balance commerciale abyssal peuvent faire redouter le pire. L’espoir pourrait venir de l’UE.

23 février 2005, 0h00
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L’assassinat de Rafik Hariri a d’abord une dimension politique. Il s’inscrit dans la problématique créée par la résolution 1559 du Conseil de sécurité des Nations Unies qui demande le respect de la souveraineté du Liban et le retrait de toutes les forces étrangères de son sol. Or, Rafik Hariri incarnait, pour la majorité de ses concitoyens, un Liban enfin libéré de la tutelle syrienne. Des dettes mais aussi une reconstruction Mais cette mort a aussi une forte dimension économique, car celui qu...
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