27 mai 2005, 0h00
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Malgré le poids d’une dette publique de près de 35 milliards de dollars, le Liban est sorti financièrement presque indemne de la crise consécutive à l’assassinat de l’ex-Premier ministre Rafic Hariri, mais des réformes en profondeur l’attendent après les législatives.
Le Premier ministre Nagib Miqati a indiqué qu’il misait «beaucoup sur le nouveau gouvernement, issu des élections, pour assurer un climat politique susceptible de favoriser un plan de réformes». «Ce plan, s’il est exécuté, pourrai...
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