17 juin 2005, 0h00
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«Que de bêtises!» C’est ce qu’a répondu hier Silvio Berlusconi à ceux qui l’interrogeaient sur la perte de confiance des industriels italiens dans le gouvernement. Petits et grands. En cause notamment, le renvoi à des temps meilleurs, faute de financement, de l’annulation de l’Irap, un impôt régional payé par les sociétés. Cette semaine, le président du Conseil s’est ainsi fait siffler par les membres de la Confartigianato (artisans) et critiquer par le vice-président de la Confindustria (patron...
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