09 septembre 2009, 0h00
Partager
Le 27 septembre, le canton de Genève veut soulager sa classe moyenne. Pour certaines communes, pourtant, la pilule est difficile à avaler. En particulier, la Ville de Genève n’en démord pas: les allègements fiscaux soumis au vote vont l’obliger à tailler dans les prestations sociales, culturelles et en matière de sécurité publique. Pour le comité interpartis «oui à la famille», qui regroupe les partisans de droite de la réforme, ces affirmations tiennent de l’abus de langage. Réunis sous l’égide...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT