22 mars 2006, 0h00
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Ashkelon, Hamma, Fujairah, Carboneras… Ces noms sont les figures de proue d’un marché en pleine expansion qui pourrait doubler d’ici à 2020: le dessalement de l’eau de mer. Que ce soit en Israël, en Algérie, dans les Emirats Arabes Unis ou en Espagne, des pays en manque d’eau potable se sont adressés aux géants du secteur, Veolia, GE, Suez (Degrémont), RWE (Thames Water) pour construire - voire gérer - ces usines à boire la mer. Un secteur qui ne fournit qu’un pourcent de l’eau potable consommée...
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