11 septembre 2006, 0h00
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Le monde a les yeux tournés vers l’Asie où les industriels se pressent depuis des décades alors que les banquiers et les financiers ont pris le relais ces dernières années. Il n’y a pas de jour où l’on n’y apprend qu’UBS ou Credit Suisse se battent pour prendre des parts de marché et capter une partie des immenses richesses qui s’y créent, de manière flamboyante, chaque jour. Mille raisons à cela. La main-d’œuvre bon marché, le besoin d’ascension sociale, le travail de fourmis, le savoir-faire, ...
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