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Le «Yalta» des parts de marché met le feu au mobile français

Selon un document de la Direction de la concurrence divulgué par le «Canard enchaîné», les opérateurs se sont entendus illicitement.

25 août 2005, 0h00
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L’hebdomadaire satirique français Le Canard Enchaîné pourra se vanter d’avoir semé une belle panique, hier, sur les marchés financiers et au cœur de la citadelle de Bercy. Dans son édition du 24 août, il publie, en effet, le fac-similé d’un document de la Direction de la concurrence et de la répression des fraudes affirmant, notamment, que les trois opérateurs du marché de la téléphonie mobile en France (Orange, SFR et Bouygues Telecom) «reconnaissent avoir échangé mensuellement depuis 1997 leur...
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