01 septembre 2004, 0h00
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Les maladresses des politiciens ont parfois des conséquences insoupçonnées. Les mouvements des «secondos» sont ainsi nés d’un mot de trop, prononcé en 2002 par la municipale zurichoise Esther Maurer, en charge de la police. Après les traditionnels débordements du 1er mai, la socialiste avait utilisé le terme, préexistant, de secondos pour désigner les responsables des castagnes.
Deux groupes voyaient alors le jour, sans se concerter, le comité «Netzwerk Secondo» (Réseau Secondo) et l’associatio...
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