18 mai 2006, 0h00
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C’est la saison des assemblées générales d’actionnaires et, comme chaque année depuis qu’il est rentré des Etats-Unis, c’est la saison où Régis Jamin est en colère. Sa société Election-Europe est parvenue à informatiser les scrutins de secteurs réputés conservateurs comme les ordres professionnels et les syndicats, celles de partis politiques comme l’UMP, qui lui a confié la gestion de ses primaires, et même celles de mutuelles. Pourtant, quand il est rentré des Etats-Unis après y avoir développ...
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