22 octobre 2003, 0h00
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«Il ne fait pas de doute que ce siècle connaîtra de nouvelles attaques bioterroristes; le virus de la variole constitue un candidat idéal.» D’entrée, Ken Alibek donne le ton. Professeur à l’Université George Mason aux Etats-Unis, cet ancien responsable scientifique de la branche civile du programme d’armes biologiques de l’ex-URSS n’est pas le seul à émettre des craintes. Les événements du 11 septembre 2001, les envois anonymes de spores d’anthrax ou encore l’épidémie de SRAS ont déclenché une s...
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