18 octobre 2007, 0h00
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Les dirigeants de l’UE devraient approuver vendredi le nouveau traité remplaçant la Constitution, les dernières difficultés polonaise et italienne ne paraissant pas menacer un accord qui fermerait la parenthèse ouverte par les «non» français et néerlandais de 2005.
«Il est temps de conclure ce débat qui a déjà duré très longtemps», a résumé lundi le secrétaire d’Etat portugais aux Affaires européennes, Manuel Lobo Antunes, dont le pays préside l’UE. Pour M. Lobo Antunes, il n’y a même «aucune r...
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