10 novembre 2009, 0h00
Partager
Se montrer suffisamment flexible pour rester «the last man standing». Au cours des 18 derniers mois, les sociétés de trading ont dû affronter des contraintes telles que certaines, pourtant considérées comme robustes, n’ont pas survécu au test extrêmement délicat qu’elle ont subi avec la crise du crédit et la récession. Des appels de marge colossaux ont ainsi mis à genoux des opérateurs qui ont manqué de flexibilité. Une capacité d’adaptation qui s’est révélée l’élément déterminant entre les vain...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT