12 décembre 2003, 0h00
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Sans doute à l’exception de l’UDC, la fonction de président de parti est un job extrêmement éprouvant à l’heure actuel. Dans un PDC en pleine débandade, encore plus qu’ailleurs, le départ de Philippe Stähelin rentre évidemment dans l’ordre des choses. Le tournus de plus en plus fréquent de ses présidents n’est qu’un symptôme de plus de la crise profonde qui menace, à terme, le parti de tomber dans l’insignifiance.
On n’en est pas encore là bien sûr, mais la malédiction qui s’abat sur les présid...
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