29 novembre 2005, 0h00
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Pour être bien administrée, la justice devrait être sereine, pensiez-vous. Eh bien, elle ne l’est pas, en tout cas pas au plus haut niveau des cours suprêmes où les juges sont élus par l’Assemblée fédérale en fonction de leur appartenance politique: dans ces hautes sphères que l’on pourrait croire proches du droit divin règne une lutte à glaives abattus, à crachats expectorés, à serrures crochetées. La loi de la jungle, quoi! Pas très rassurant pour les justiciables. Ni pour les contribuables à ...
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