13 juillet 2000, 0h00
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Dans les années 80, la justice tessinoise a lancé de grands défis à la mafia et au crime organisé. Aujourd’hui débordée et secouée par une enquête visant un juge, elle veut renouer avec ce passé récent en se donnant plus de moyens.
Les magistrats tessinois sont frustrés. «Dans notre situation, il est presque impossible de se lancer dans de grandes enquêtes», regrette le procureur Jacques Ducry. Il cite l’exemple de Genève, qui a ouvert une procédure pour blanchiment s’annonçant très complexe con...
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