23 avril 2009, 0h00
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Vive la crise! Elle oblige le gouvernement suisse à se secouer, à descendre dans l’arène et à muscler sa stratégie. Qui s’endort ingénu se réveille calomnié. La Suisse s’imaginait respectée et même aimée. Elle se retrouve enviée et entourée d’ennemis. Fin du réduit national et début de la guérilla. L’important maintenant est de modeler une stratégie flexible, avec des changements d’alliance suivant les objets. Le temps n’est plus aux ententes éternelles. Comme on dit: alliance au doigt, pigeon b...
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