31 mars 2005, 0h00
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Après le SRAS et la guerre en Irak, l’industrie de l’horlogerie-bijouterie, qui se retrouve à partir de jeudi à Bâle pour son salon annuel, est confrontée à un nouveau défi: la concurrence du téléphone portable qui donne l’heure et incite les jeunes à se passer de montre.
«Les jeunes n’ont plus de montre aujourd’hui: s’ils veulent savoir l’heure, ils regardent leur portable, qu’ils ne quittent jamais», soupire Patrice Besnard, représentant du comité français de l’horlogerie, de la bijouterie, d...
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