22 mai 2001, 0h00
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Il est quand même paradoxal, le canton de Vaud: c’est la gauche qui promet au bon peuple de substantielles diminutions d’impôts et c’est la droite libérale-radicale qui fait front pour les lui refuser. Plus fort que le POP, il n’y a guère que Silvio Berlusconi – un séducteur, comme Josef Z. – qui prévoit non seulement une baisse vertigineuse de la pression fiscale, mais en prime quelques millions d’emplois et la revalorisation des retraites. Pour en revenir au cas vaudois, il y a peut-être illus...
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