15 août 2006, 0h00
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Le système de milice est, selon Walter Wittmann, un des piliers de la «maison Suisse», aux côtés de la démocratie directe, du fédéralisme et de la neutralité. Il compte pourtant, selon lui, de nombreuses faiblesses.
Premier point négatif: si le travail effectué par des «miliciens» n’est souvent pas rétribué, il n’en est pas pour autant gratuit, puisque les employeurs et l’économie supportent les coûts des absences pour cause de mandats politiques ou de service dans l’armée. Plus gênant, poursui...
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