09 avril 2001, 0h00
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Soixante pour cent des cadres se sentent noyés sous la masse d’informations qu’ils reçoivent chaque jour. Quatre-vingt-deux pour cent d’entre eux estiment que le courrier électronique n’a pas diminué leur charge de travail, au contraire. En matière d’information, la société du même nom est un peu comparable à ce que le général de Gaulle disait à propos de sa succession: «Après moi, ce n’est pas le vide que je crains, mais le trop-plein.» Après s’être plaints d’être sous-informés ou trop tardivem...
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