19 août 2008, 0h00
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«Nous sommes condamnés à l’originalité». Georges-Henri Meylan, administrateur délégué d’Audemars Piguet, traduit en une phrase une réalité plus complexe qu’un astrolabe à seconde foudroyante. Sur le terrain, la propriété intellectuelle est une lutte sans fin, dont les contours évoluent de concert avec l’hégémonie des marques sur le monde. Aucun secteur n’est épargné. En Suisse, où la législation vient de se renforcer aux frontières, l’horlogerie en incarne tous les effets. Avec d’autant de force...
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