12 septembre 2003, 0h00
Partager
Imaginez que la Suisse soit menacée par une catastrophe l’année prochaine. Imaginez qu’on sache qu’elle va faire entre 1000 à 1400 morts et plusieurs dizaines de milliers de blessés. Il va sans dire que toutes les autorités seraient sur la brêche et que tout serait entrepris pour éviter ce désastre.
Or, cette catastrophe a un nom: le suicide, explique le journaliste Peter Holenstein, auteur d’une étude sur le coût économique du phénomène. Le Conseil fédéral est d’ailleurs parfaitement conscient...
Ce contenu est LIBRE d’accès. Pour le lire, il vous suffit de créer un COMPTE GRATUIT